AccueilCritiquesAventureLES AVENTURIERS DE L'ARCHE PERDUE

LES AVENTURIERS DE L’ARCHE PERDUE

En 1936, l’aventurier et archéologue Indiana Jones retrouve une idole en or perdue dans un temple, avant qu’elle ne lui soit dérobée par son rival le français Bellocq. Il est ensuite chargé par le FBI de mettre la main (avant les nazis!) sur l’arche d’alliance contenant les Tables de commandement édictées par… Moïse! Du Népal au Caire, son périple va lui réserver des moments palpitants!

George Lucas, le papa de Star Wars et Steven Spielberg, le géniteur de E.T, ne pouvaient que mettre au monde à eux deux une figure mythique du 7e Art: j’ai nommé Indiana Jones, devenu le héros aventurier le plus cool, le plus sexy et le plus connu de la planète cinéma! Hommage plus que parodie aux bandes d’aventures des années 30 et aussi de la BD style Tintin, ce très populaire opus américain fut le grand champion du box office grâce à ses ingrédients ingénieux: de l’action en pagaille, des images spectaculaires, de l’humour bien dosé, un peu de romance et hop le tour est joué! Spielberg se régale à nous entrainer dans une trépidante odyssée où l’on croise des araignées venimeuses, des centaines de serpents, des grottes inquiétantes, des poursuites endiablées en camion ou en avion, des fouilles archéologiques fascinantes, et surtout un beau héros sympathique bravant tous les dangers. Avec une habileté exemplaire et un sens aigu du rythme, l’auteur de Les dents de la Mer sait précisément comment divertir son public, et sans trop complexifier son récit. Certes, les méchants sont très méchants (les nazis montrés de manière caricaturale par exemple) et la simplification générale prévaut, mais qu’importe on est dans un film d’aventures et nulle psychologie n’a sa place!

Que serait cette oeuvre sans la contribution essentielle de son acteur phare? Harrison Ford acquiert une notoriété immédiate, après avoir été du phénomène Star Wars, et se montre d’une parfaite décontraction dans la peau de cet archéologue casse cou, affublé d’un feutre légendaire, d’un fouet et de vêtements fripés. Pour le seconder, une héroïne plutôt courageuse aussi, interprétée par Karen Allen, déterminée à obtenir l’amour de Jones tout en acceptant de risquer sa vie à tout moment. Indiana Jones aura quatre suites (on attend le 5e épisode ce mois ci), mais aucune ne possédera la véritable fraicheur de ce premier chapitre. Du cinéma pop corn oui, mais diablement réjouissant, pour retrouver notre d’âme d’enfant!

ANNEE DE PRODUCTION 1981.

REVIEW OVERVIEW

réalisation
scenario
interprétation

CONCLUSION

Spielberg réinvente le film d'aventures, sans temps mort, et avec une réjouissante fraicheur. Harrison Ford éternel Indiana Jones. Une grande réussite du genre.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Latest articles

Spielberg réinvente le film d'aventures, sans temps mort, et avec une réjouissante fraicheur. Harrison Ford éternel Indiana Jones. Une grande réussite du genre. LES AVENTURIERS DE L'ARCHE PERDUE